il faut bien un début, même quand on se soucie pas de la fin...

Pour ce mot qui précède, il ne s'agissait que de voir si mes compéténces techniques avaient suffi à la mise en marche du blog! eh quelle joie, oui!

Je commence en disant que c'est étonnant de voir à quel point on peut se sentir vide alors que l'on vient de passer le plus clair de son temps ces trois derniers jours à essayer de se remplir...contexte pour lubriques, maniaques ou frustrés=révision de partiels. Je joins quelques textes, choisis parmi une plus vaste séléction de morceaux déplorables, fades, hautains et prétentieux au possible pour un jeune homme d'une quinzaine d'années; ne pas croire que je considére les autres comme exempt de ces reproches, mais disons qu'ils me plaisent plus.

Sinon, pourquoi un blog? Il y a un peu de la mythologie de l'écrivain, quiconque ouvre un bon livre a aussitôt envie d'un lire un autre, ainsi de suite jusqu'au moment où il se dit qu'il aimerait en écrire un, sans bien se rendre compte de l'écart fulugurant qu'il ya entre lire de belles pages, cette facilité, ce plaisir, cette décontraction, et en écrire, cette réflexion, cette tension, parfois une douleur, une mort. J'aime lire, plus je lis moins j'ai de prétentions; je garde néanmoins un vrai plaisir à écrire de temps en temps. Voilà à quoi va me servir ce blog.